Hopaia, des tenues de yoga écoresponsables

Une production 100 % européenne, des designs co-créés par une communauté de yogis, des matières écologiques et le style en plus : c’est le pari de Noémie, la jeune créatrice de Hopaia. Pour éviter la surproduction, sa collection de lancement ne comporte que 3 pièces qui seront seulement disponibles en pré-commande : une brassière, un legging et un short en Econyl, un textile 100 % recyclé à partir de déchets plastiques repêchés dans l’océan. « Notre génération a été éduquée à la fast-fashion, au marketing de masse et aux promos à gogo« , déplore Noémie, qui promet un maximum de transparence tout au long de la production.

Pour soutenir ce projet et pré-commander votre tenue, rendez-vous sur  http://bit.ly/yoga_magazine !

ShoesLess, l’art à la rencontre de l’intériorité

Quelle est la première chose que l’on fait en entrant dans un studio de yoga ? On retire ses chaussures. On retrouve le contact avec le sol. On se reconnecte à soi. Quel meilleur endroit que ce lieu de paix et de tranquillité, propice à l’intériorité, pour entrer en contact avec des œuvres artistiques ? C’est ce que propose la professeure de yoga Mélie, avec ShoesLess, un projet d’exposition artistique itinérante qui voguera de studio en studio tout au long de l’année. Premier arrêt ? LM Studio Marais, à Paris, avec les illustrations faussement naïves de Yaya Bela, qui évoquent la puissance des femmes et la connexion à la nature. Viendra ensuite, à partir du mois d’avril, une série de photographies d’Anaka illustrant avec poésie les 12 lois du karma ; puis une onirique série du photographe Laurent Villeret, intitulée Héliotropes, qui nous fait voyager de Tehuantepec, au Mexique, à Zanzibar…

ShoesLess, à découvrir au LM Studio Marais (15 rue bourg tibourg, Paris 4e) dès le 6 février 2021.

Photographie : Loi no 12 - Loi de la Valeur et de l'Inspiration - Anaka

Yoga Connect s’engage auprès de Planète Urgence

La consommation numérique est responsable 4 % des émissions de CO2 dans le monde, et sa consommation énergétique s’accroit de 9 % chaque année. C’est pour faire face à ce constat, mis en avant par The Shift Project, que la plateforme de yoga en ligne Yoga Connect s’engage auprès de Planète Urgence, une ONG de lutte contre la déforestation. L’idée ? Planter des arbres pour compenser les émissions de gaz à effet de serre générées par le streaming vidéos. Au fil de leur utilisation, les membres de Yoga Connect pourront ainsi atteindre des « paliers » qui signifieront qu’un nouvel arbre vient d’être planté par Planète Urgence. Pour marquer son engagement, la plateforme a également développé la « Charte My Green Yoga », des conseils pour une consommation numérique éclairée. Yoga Connect est la première plateforme de yoga à mettre en place une telle initiative.

Zéro déchet : nos astuces et conseils

« À l’heure actuelle, nous vivons chaque année comme si nous possédions une planète et demie. Si nous continuons comme ça, en 2050, nous devrons utiliser quatre fois la quantité de matières premières présentes sur la Terre », alerte Babette Porcelijn, auteure de Notre empreinte cachée, tout ce qu’il faut savoir pour vivre d’un pas léger sur la Terre (Seuil, 2018). Passionnée par l’environnement, Babette a étudié notre impact en tant que consommateurs. En tête de son Top 10 des produits les plus polluants, on trouve les objets que nous achetons, et en deuxième position, la viande. Ensuite vient le reste de notre alimentation. Dans la série documentaire Netflix Notre planète (2019), le journaliste scientifique David Attenborough fait passer un message similaire, et sans appel : si nous voulons continuer à vivre sur cette planète, il va falloir revoir sérieusement nos habitudes de consommation à la baisse.

Combattre le gaspillage alimentaire

Commençons par l’alimentation : un tiers de toute la nourriture du monde termine à la poubelle. À l’échelle mondiale, cela représente 1,3 milliard de tonnes de nourriture par an, soit 41 kilos par ménage. En France, les initiatives anti-gaspillage sont de plus en plus nombreuses : les applications Too Good To Go et Phenix, par exemple, permettent de récupérer les invendus des supermarchés, primeurs, boulangeries… à prix cassés. Et des dizaines d’associations, en redistribuant les invendus alimentaires aux personnes démunies, font de la lutte anti-gaspi une action solidaire. 

Notre astuce pour combattre le gaspillage alimentaire ? Pensez zéro déchet au moment de faire vos courses et de cuisiner ! Sacs en tissus pour vos provisions, sachets pour votre baguette de pain, bocaux pour vos courses en vrac ou vos restes au restaurant, permettent de remplacer le jetable par du réutilisable. Côté cuisine, devenez un-e ninja de l’anti-gaspi en réutilisant votre marc de café, ou en apprenant à cuisiner vos fanes de carottes et autres pluches de fenouil. Ce qui reste ira… au compost, bien entendu.

Minimalisme

En dehors de l’alimentation, nous pouvons apprendre à acheter moins. Jelle Derckx est minimaliste et aborde le sujet dans son livre Verlangen naar minder (“Aspirer à moins”, non traduit en français). Même si l’on nous encourage à relancer la consommation, même si les offres spéciales nous envahissent, la façon la plus efficace de réduire notre impact est bien d’acheter moins d’objets neufs. C’est dans une démarche de développement personnel qu’il est tombé, par hasard, sur l’idée de “désencombrement”. « J’ai lu un article de Leo Babauta [une star du minimalisme aux Etats-Unis], qui portait sur la simplification de la vie. Et je me suis dit : “C’est ce que je veux, moi aussi.” Je me suis mis à faire le tri. »

Les astuces de Jelle ? Un : déterminez ce qui vous importe vraiment. Et deux : débarrassez-vous du reste. Pour autant, Jelle n’est pas complètement anti-achats. « Je me pose toujours quelques questions avant d’acheter quoi que ce soit : “En ai-je réellement besoin ? Est-ce que je vais souvent m’en servir ? Ou est-ce un achat impulsif ? Est-ce vendu par une marque ou une entreprise que je soutiens ?” Si nous choisissons tous d’acheter un peu moins, cela fera une énorme différence. »

La folie de décembre

Jelle Derckx a quelques conseils utiles pour aborder les fêtes de fin d’année, période phare de la surconsommation. Si vous souhaitez offrir quelque chose à quelqu’un, offrez-lui une expérience (une promenade ensemble, une place de concert) plutôt qu’un objet. Et si vous voulez quand même offrir un objet, choisissez une confiture artisanale ou du café équitable. Au moins, vous serez sûr que ça ne finira pas à la poubelle. « On peut aussi faire le choix, en famille, de donner de l’argent à une association. Faites preuve de créativité. Trouvez d’autres façons de faire. Écrivez une belle lettre à quelqu’un. Notez ce qui vous fait éprouver de la gratitude l’un envers l’autre. Nous possédons tous tant de choses : apprenons à célébrer Noël sans accumuler plus d’objets et de cadeaux. » Besoin d’un peu d’inspiration pour préparer les fêtes ? Découvrez notre article « un cadeau qui vient du cœur » ici.

Et si la fièvre du shopping vous saisit quand même, prenez un instant pour penser à aparigraha, le principe yogique de non-convoitise. Passez en revue tout ce que vous possédez déjà, chez vous, dans vos placards, dans votre frigo, et montrez-vous reconnaissant pour toute la richesse qui vous entoure.

Pour aller plus loin :

Ma famille zéro déchet, ze guide, de Jérémie Pichon et Bénédicte Moret, éditions Thierry Souccar (2016). Leur blog : famillezerodechet.com

Notre aventure sans frigo, de Marie Cochard, Eyrolles (2017). Son blog : lacabane-antigaspi.com

La cuisine zéro déchet, 52 recettes de Stéphanie Faustin, Rue de l’Échiquier (2019). Son blog : tomatesansgraines.fr

Le guide des mouvements Zéro pour un futur désirable, de Justine Davasse, Tana (2020). Son blog : lesmouvementszero.com

Consommer moins mais mieux : les astuces de la rédaction

Lunaria, une boutique écoresponsable & made in France

Cette fois-ci, c’est bien parti pour durer ! Après une boutique éphémère de quelques mois, le concept-store Lunaria, seule boutique nantaise entièrement dédiée au yoga, vient de réouvrir en plein centre-ville. Bougies, infusions, livres, tapis et tenues de yoga : il y a tout ce qu’il faut pour créer des petits rituels de douceur chez soi. Une sélection aux petits oignons, puisque tout provient de marques françaises véritablement soucieuses de leur éthique. Le must ? Entre midi et deux et après la fermeture, la boutique se transforme en studio ! Venez pratiquer le yoga périnatal, le Yin yoga, le yoga intégral… et même le Feetup Flow, une pratique où l’on apprend à se servir du Feetup, cet accessoire qui permet de faire des postures inversées tout en douceur et sans peur.

Rendez-vous chez Lunaria : 3 rue Prémion, en face du chateau des ducs de Bretagne. lunaria-nantes.fr

Sortie d’un « Best of » de Deva Premal

La chanteuse qui a popularisé le Gayatri mantra auprès des yogis occidentaux fête cette année ses vingt-deux ans de carrière. Vingt-deux années d’émouvants mantras, de tournées autour de monde et de concerts méditatifs avec la complicité de Miten, son compagnon. Le 5 novembre, sort The Essentiel Collection, une compilation de ses plus beaux enregistrements. On y retrouve trois versions du mantra Gayatri, mais aussi le très groovy Om Mantra (The Cosmic Yes), ou encore un magnifique Lokah Samasta, le mantra qui appelle à l’amour universel pour tous les êtres. Difficile de ne pas avoir un doux sourire sur les lèvres à l’écoute de ces 24 titres à la sérénité apaisante. Qu’il ait été enregistré en 1998 ou en 2020, chaque mantra raisonne toujours aussi puissamment : c’est là toute la magie de ces chants ancestraux et de la voix angélique de Deva.

Deva Premal, The Essential Collection, 1998-2020, en écoute sur toutes les plateformes de streaming.

Rencontrez les « Entrepreneuses du Nouveau Monde » du 26 au 30 octobre

Ce sont « des femmes qui osent, qui se lancent, qui partagent ce même message qu’on a toutes notre place dans le nouveau monde ». Vingt-sept femmes de tous horizons, qui ont en commun de suivre ce que leur murmure leur cœur en travaillant en adéquation avec leurs préoccupations sociales, environnementales et éthiques. Ces femmes, Vanessa Fourcaudot a eu envie de les rencontrer. La coach, spécialisée dans l’accompagnement de celles qui se lancent dans l’entrepreneuriat, organise donc du 26 au 30 octobre le sommet virtuel des Entrepreneuses du Nouveau Monde : une série d’interviews (de 40-50 minutes) avec ces femmes entrepreneuses visionnaires, suivies de temps de questions-réponse avec le public. Son envie ? Que chaque auditrice puisse se sentir inspirée par le parcours hors des sentiers battus de ces femmes libres et déterminées. Et que chacune, peut-être, se sente appelée à apporter sa pierre à l’édifice d’un nouveau monde plus juste, plus durable et plus collaboratif… 

Venez faire connaissance avec Alice Torquet, créatrice de l’agence de voyage éthique Serenji Travel, Angela Lery, fondatrice de La Cabane Bleue, une maison d’édition qui publie des albums pour enfants dédiés à la nature et à l’écologie, de Nathalie Babouraj, à la tête de l’Institut de Santé Intégrative… et bien d’autres femmes qui construisent le monde de demain avec amour et conscience.

Les entretiens seront accessibles gratuitement en direct, ou en replay à partir de 74 €. Inscrivez-vous vite à cette semaine d’entretiens qui promet d’être aussi passionnante qu’enrichissante !

Pour s’inscrire : entrepreneuses-du-nouveau-monde.com

Retrouvez Vanessa Fourcaudot sur Instagram : @lavoiedegaia

texte : Clémentine Koenig - Photographie : Eva Bigeard (evabigeard.fr)

L’activisme sacré, une nouvelle façon de s’engager

Que ce soit pour l’égalité entre les femmes et les hommes, pour l’écologie ou contre le racisme, comment s’engager sans perdre ses valeurs ? Comment se battre pour ce qui nous tient à cœur sans se laisser submerger par la colère, la fatigue ou le désespoir ? Pour Claire et Pauline, la réponse tient en deux mots : l’activisme sacré. Les deux femmes organisent en novembre une retraite sur ce thème. Ou comment construire un monde meilleur en cultivant sa présence.

Yoga magazine : Comment est né le Bûcher ?

Claire et Pauline : L’idée du Bûcher est venue de manière organique. Au départ, Claire enseignait le Qoya, une pratique de mouvement très liée au féminin. À la suite d’une séance, elle a eu la vision de fonder une école qui diffuserait des savoirs, qui proposerait des retraites et qui serait co-créée avec différentes personnes. Elle a alors contacté plusieurs femmes de son entourage, dont Pauline, toutes emballées par l’idée, alors qu’elles ignoraient de quoi il s’agissait. Au même moment, Pauline venait de quitter son travail et s’intéressait beaucoup aux thématiques autour de l’activisme. C’est comme cela qu’elle a été introduite à l’activisme sacré. Un terme qui a très vite réuni nos deux visions. On cherchait à faire quelque chose inspiré de l’intuition. Essayer de ressentir un projet qui commence à travers nous et non de la volonté de notre ego. Ainsi, nous avons lancé le Bûcher :  un collectif où notre objectif n’est pas de changer le monde, mais de nous aider collectivement à l’imaginer radicalement différent.

Pourquoi ce nom ?

Il y a beaucoup de métaphores autour du Bûcher. Tout d’abord le bûcher c’est là où l’on brûle l’ancien, comme les anciens paradigmes ou ce qui ne nous sert plus. Le feu symbolise l’alchimie du nouveau. Le bûcher, c’est aussi là où l’on se rassemble : c’est l’image de la communauté, de la collectivité. En français ce nom a une connotation négative, on l’associe à la chasse aux sorcières. Donner ce nom à notre collectif était aussi l’occasion de nous réapproprier ce qui, à la base, était un outil pour ces femmes, avant qu’on ne les brûle dessus.

Que signifie s’engager en conscience ?

S’engager en conscience est l’une des facettes de l’activisme sacré.  Comment peut-on mettre plus de conscience dans ce que l’on fait ? Comment peut-on s’assurer que nous ne sommes pas en train de partir d’une colère brute qui est individuelle ? De quel endroit est-ce que ça part ? De mes peurs ou de mon cœur ? Comment cet endroit que je nourris pour moi peut se projeter suffisamment loin pour que tout le monde en bénéficie ? Cela peut se traduire par le fait de ramener des pratiques activistes et des luttes sociales dans les pratiques spirituelles. Finalement, s’engager en conscience, c’est relier l’activisme dans une vision ancrée dans plus de connaissance de soi, plus de lien avec la terre.

Cette manière de s’engager se base notamment sur un nouveau rapport au repos. Pourquoi ?

Une des valeurs avec laquelle nous travaillons repose sur le fait de prendre le temps, et de prendre ce temps pour pouvoir ressentir vraiment. Au-delà du bien-être, s’autoriser à ralentir, c’est ce qui permet de faire de la place pour des nouvelles pensées. En changeant notre relation au temps, on peut changer notre relation aux choses. Il s’agit d’une forme d’activisme très fort. C’est plus dur que cela en a l’air, car on doit affronter la peur de ne pas être suffisant, de pas être productive ou hyperactive. Nous devons apprendre à ralentir pour faire de la place à un certain nombre de réflexions que nous n’avons pas forcément envie d’avoir.

Faut-il développer davantage le féminin dans l’activisme ?

Nous pensons qu’aujourd’hui le masculin est largement développé, voire un peu trop. Nous le portons tous de manière démesurée. Dans une vision d’équilibre, nous avons plus besoin de développer le féminin que le masculin. Or, la manière dont on s’engage en écoutant la terre, notre corps, les gens autour de nous… est une essence plus féminine.

Un conseil pour renouer avec notre féminin ?

Le premier conseil réside autour du repos. Comme nous le disons souvent, l’énergie du féminin se trouve dans le fait de ressentir. Et cela n’arrive que lorsque l’on ralentit. Ralentir, c’est s’autoriser à ressentir. Il est aussi important de mettre son corps en mouvement. En mouvement, nous accédons à un plus large panel de ressentis. Et puis, il y a bien évidemment les rituels :  comment je me connecte à la terre ? À quelque chose de plus grand que moi ? À l’invisible ? Tout cela va venir développer notre intuition et notre relation collective.

Retrouvez le Bûcher sur Instagram. À découvrir en ce moment dans notre hors-série Yoga au féminin : l’écoféminisme, le féminin sacré, les cercles de femmes, des rituels et plus encore…

Du yoga solidaire avec Octobre rose

  • À Paris

Marcia, la fondatrice des studios Snake & Twist, propose un cours de Power Yoga le samedi 17 octobre à 10 h 30… sur Zoom, la plupart des studios de yoga étant actuellement fermés. Les bénéfices du cours seront intégralement reversés à la fondation L’Institut du Sein – Paris.

Prix : 30 € / Inscription : cliquez ici.

  • À Meaux

Le samedi 10 octobre, c’est l’association AVACS (Association pour Vaincre le Cancer Solidairement) qui organise un « yoga rose géant » au Colisée, la grande salle de spectacle de Meaux. Venez en rose !

Prix : 5 € / Inscription : cliquez ici.

  • À Chateauneuf-du-Pape

Les association Ruban Rose et Arts et Culture allient leurs forces pour une journée de détente le samedi 17 octobre. Au programme : du Vinyasa de 9 h à 10 h, et une heure de méditation au coucher du soleil, à 18 h 45. Les séances auront lieu sur le parvis du château (et à l’intérieur en cas de mauvais temps).

Prix : 5 € (méditation), 10 € (yoga) / Informations : cliquez ici.

Vous organisez un cours solidaire pour soutenir Octobre rose ? Contactez-nous et nous en ferons part sur cette page !

Octobre Rose : le programme bien-être du Bon Marché

Dans le cadre d’Octobre Rose, Le Bon Marche Rive Gauche propose une série d’ateliers et de tables rondes dédiés au bien-être et dont les bénéfices reviendront intégralement à l’association Ruban Rose. Cette association, à l’origine d’Octobre Rose, s’attache à sensibiliser les femmes sur le dépistage du cancer du sein et récolte des fonds pour la recherche sur cette maladie qui touchera une femme sur huit au cours de sa vie.

À découvrir

• Deux tables rondes animées par Élodie Garamond, fondatrice du Tigre yoga club, sur le thème du bien-être et de la sororité, les 7 et 14 octobre.

• Deux ateliers de méditation en partenariat avec l’application Petit Bambou, autour de l’alimentation en conscience et du lâcher prise, les 12 et 26 octobre.

• Et bien d’autres événements…

Pour retrouver toute la programmation et réserver, c’est ici !